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Chapitre 3

Aïzen avait fait préparer un déjeuner pour les deux hommes. Il laissa entrer le domestique seul autorisé à pénétrer dans la chambre d’Ichigo. Il plaça la servante devant son maître et plaça deux chaises autour de la petite table qui avait été aménagé pour eux. Il s’inclina et disparu.

 

Le Seigneur de Hueco Mundo s’approcha de son nouveau jouet. Il ne pouvait s’empêcher pour il ne savait qu’elle raison d’être attendrit pour la forme allongée devant lui. Cela le dérangeât tout à coup ! Le brun se pencha au dessus du visard et le secoua pour le réveiller. Ichigo grogna et se frotta le bout du nez dans son oreiller et murmura

 

-       Fou-moi la paix le vieux ! Tu vois pas que je suis en train de dormir !

 

« Le vieux » ? pensa Aïzen. Il fronça les sourcils et voulu frapper le jeune homme mais Ichigo arrêta sa main en plein vol et l’entendit râler exaspéré :

 

-       C’est pas possible qu’un père fasse chier son gamin à une heure pareille ! Quand est-ce que tu vas…

 

Ichigo laissa sa phrase en suspens quand il rencontra les yeux de l’homme au dessus de lui. Il blêmit inconsciemment.

 

-       Alors, je te fais penser à ton père ?

 

Aïzen était doucement ironique. La situation l’amusa soudainement.

 

-       Non… c’est juste qu’il me réveille toujours d’une façon… musclée.

-       Oh ? Il va falloir que je pense à te « réveiller » autrement alors. Je n’aime pas être comparé à Isshin.

 

Ichigo leva un sourcil interrogateur. Aïzen appelait son père par son prénom ? Voyant la surprise sur le visage de son « épouse », l’homme eut un sourire ironique.

 

-       Ton père est l’ancien capitaine de la 10ème division du Goteï 13.

 

La stupéfaction marquait le jeune homme. Aïzen s’était levé et avait pris place autour de la table. Il prit délicatement ses couverts et commença à se préparer son repas. Il invita Ichigo à en faire autant. Ce dernier vit le regard où il lu son intérêt à ne pas refuser. Il se leva lentement. Le roux se rendit compte qu’il avait le même vêtement que la veille. Quoique !! Ces vêtements étaient tous identiques.

 

Il s’assit face à son « époux », ça il le gobait toujours pas. Aïzen se montra d’une compagnie agréable et ne chercha pas à troubler le vizard plus qu’il ne semblait l’être. Ichigo lui était perdu et ne savait pas quoi penser de sa situation. Il passa un moment cependant « plaisant » avec le brun. Lorsqu’ils eurent terminés, Aïzen appela le domestique qui se tenait près de la porte, près à intervenir pour le moindre désir. Il fit débarrasser la table.  Il ajouta pour le domestique :

 

-       Si quiconque essaye de rentrer dans mes appartements où pire ici, je le tue ! Est ce bien clair !

-       Oui, Aïzen-sama !

 

-       Maintenant, nous allons prendre un bain ensemble ! susurra Sosuke.

-       Pardon ? Fit Ichigo sur le qui vive brutalement.

-       Tu m’as bien entendu. Evidemment, le moment que nous allons passer ensemble dépendra de tes réactions. Il pourra être agréable, tout comme il pourra être une torture ! Pour moi les deux me seront agréable quoiqu’il arrive !

 

Son sourire était moqueur et ses yeux avait une petite lueur cruelle. Ichigo se sentait pris au piège et ne savait pas du tout comment il devait résister. Il était planté au milieu de la pièce indécis. Soudain, il sentit un reiatsu inquiétant s’enrouler autour de lui. La pression n’était pas forte, mais la menace planait. Ichigo entendit une voix :

 

-       Mon roi, fait c’qui dit ! Sinon, on va y passer plus vite que prévu !

-       La ferme !

-       Comme tu veux… Mais vient pas t’plaindre après.

 

Ichigo était déstabilisé par le discours de son hollow ! Il se demande comment aurait réagit Uryuu, Chad, Inoue, Kiego, Tatsuki, Renji ou Rukia ? Tout lui semblait si loin maintenant. Il sentit une main lui saisir la sienne durement. Il leva brutalement la tête et vit la colère dans les yeux d’Aïzen et eut peur et écœurements pour lui-même. Se souvenant de la scène de la veille… il murmura vaincu :

 

-       Je vous suit !

-       Bien, bien…

 

La pression sur sa main se fit légère et le reiatsu inquiétant avait quitté la pièce. Le Seigneur de Hueco Mundo tira doucement sa victime derrière lui qui le suivait sans protester mais humiliée et terrifiée.

 

La grande baignoire était pleine d’eau et de mousse. Ichigo sentit les mains de son mari faire glisser ses vêtements au sol. Il se trouva rapidement nu. Il déglutit péniblement quand il vit le regard concupiscent d’Aïzen sur lui.

 

-       Tu es beau Ichigo, très beau ! Déshabille-moi, maintenant !

 

Ichigo était paralysé et ne s’attendait pas à cette demande. Qu’allait-il encore lui réserver ? Il eut un geste d’hésitation et voyant la flamme dans les yeux de l’autre, bougea car il se rendit compte de sa vulnérabilité et connaissant suffisamment son interlocuteur, il imaginait déjà la « punition » qu’il pourrait recevoir s’il n’obtempérait pas.

 

Lentement, Ichigo fit glisser l’haori d’Aïzen. Et le plia comme Aïzen avait plié ses affaires. Ensuite, il s’attaqua au Shihakushou et dû par la même occasion desserrer l’obi rouge. L’hakama glissa le long des jambes du brun. Ichigo ramassa la ceinture et le pantalon et les plia sur la chaise. Il finit par faire glisser la veste et n’essaya pas de voir l’entrejambe où il pouvait déjà voir ce qui l’attendait dans les minutes qui allait suivre.

 

Il se tendit sans s’en rendre compte. Sosuke l’avait bien remarqué. Il eut un sourire ironique et amusé. Il leva le visage du plus jeune vers lui.

 

-       Maintenant, Ichigo… tu vas me caresser.

 

Ichigo devint coquelicot. Comment caresser un homme ? Il n’avait aucune idée de ce qu’il devait faire et la présence écrasante de son tortionnaire réduisait ses pensées à néant. Il pensa à l’aide ! Et là, il entendit la voix de son hollow !

 

-       Ichigo, laisse moi la place. Ce pervers nous a humilié hier ! J’n’te laisserai pas passer pour une victime. En plus, le rayon perversité, c’est mon domaine pas le tien ! J’sens que j’vais bien m’amuser. T’inquiète pas ! Je n’ferai rien qui nous causerai du tort. Tu veux ?

-       Tu ferais ça ?

-       Ecoute, on a pas beaucoup d’ temps pour changer les rôles. Et j’ai pas envie d’crever ! J’ferai en sorte qu’y s’rend compte de rien. Mais, j’vais lui faire apprécié notre présence !

-       Je ne suis pas rassuré là !

-       Tu veux t’en occuper ?

 

Ichigo observa Aïzen et vit de l’impatience et une certaine colère arriver.

 

-       Non ! Je te le laisse.

-       Bien mon roi ! Sage décision.

 

Ichigo se retrouva dans son monde intérieur avec Zangetsu qui l’observait pour finalement lui dire :

 

-       Sage décision ! Shiro ne fera rien qui pourrait te causer des dommages.

-       Shiro ?

-       C’est le nom qu’il s’est donné !

 

-       Alors ? fit Aïzen impatient.

 

Shiro eu un petit sourire qu’Aïzen ne vit pas et se dirigea vers lui en essayant de ne pas trahir le fait qu’Ichigo avait été remplacé. Il posa ses mains sur les pectoraux lisses et musclés de l’homme qu’il trouvait excitant à vrai dire. Shiro joua quelques secondes avec son téton qui se dressa sous la pression des doigts. Il se plaqua contre lui et comme l’homme était plus grand commença à lécher sa clavicule. Ses mains descendaient sur le corps ferme et glissèrent sous les fesses musclés. Sa bouche ayant commencer à titiller la pointe dresser sur la poitrine.

 

Mais Aïzen le repoussa. Il observa le jeune homme qui paraissait normal. Pourtant, il eu un sourire.

 

-       Change immédiatement pour Ichigo où je vous tues tous les deux !

-       Mais, fit shiro en une parfaite imitation de son roi, Je suis Ichigo.

-       Tu me prends pour qui Hollow ! C’est Ichigo que je veux et lui seul ! Dégage… Je n’hésiterai pas à faire pression.

 

Les yeux d’Ichigo avait pris une légère coloration mordorée.

 

-       Que voulez-vous à mon roi ?

-       Cela ne te concerne pas et ma patience est déjà à bout !

 

Shiro observa l’homme et du admettre que s’il n’obéissait pas l’autre mettrait ses menaces à exécution. Il abandonna la place. Aïzen attendit quelques minutes pour voir resurgir Ichigo. Le jeune homme était terrorisé. Il vit qu’il n’en tirerait rien. Il s’avança vers lui et plaça une main derrière le dos du jeune homme et sous ces genoux. Il enjamba la baignoire et les firent entrer tous les deux dans l’eau.

 

Ichigo scrutait l’homme en face de lui. Il savait qu’il avait renvoyé Shiro et ne savait plus comment réagir. Aïzen avait un sourire profondément moqueur.

 

-       Lave-moi et cette fois-ci, si ton hollow intervient je te tors la nuque !

-       Bien !

 

Ichigo tourna son visage et il tomba sur une éponge et du savon. Il prit l’éponge et commença à asperger les épaules larges devant lui lentement. Elle glissa sur son torse et ensuite il frotta les bras. Aïzen se mit debout et observa le jeune homme qui se releva également et entreprit de frotter les parties génitales de l’homme. Mais Aïzen avait repousser l’éponge et avait capturer sa main.

 

-       Je préfère comme cela ! souffla t’il à son oreille.

 

Ichigo frissonna et fit glisser sa main sur le sexe dur devant lui. Il entendit un gémissement doux au creux de son oreille et tourna la tête surpris. Il vit que le regard de l’homme était emplie de désir. Ce qui troubla Ichigo qui ne pensait pas qu’un simple toucher puisse troubler cet homme. Prenant un peu confiance en lui et se disant qu’il n’y couperai pas de toute façon, il se mit à appliquer un va et vient lent pour finalement au rythme des gémissements produit par Aïzen augmenter le mouvement.

 

-       Suce-moi ! s’était un ordre.

 

Ichigo lâcha la prise et se sentait mal à l’aise mais le regard que lui adressa Aïzen ne souffrait aucun refus. Il se mit à genoux pour être à la hauteur du sexe de son mari et attrapa la verge gonflé entre ses mains encore malhabile et écœuré lécha le membre de son tortionnaire. Il s’enhardit également, en entendant les soupirs d’Aïzen.

 

-       Tu es doué gamin !

 

Mais Ichigo tremblait maintenant en sentant une main se poser sur sa tête pour l’encourager. Bientôt le bassin de Sosûke se mit à bouger inconsciemment. Et bientôt, en même temps qu’un râle se fit entendre, il sentit une substance se déverser dans sa bouche. Il faillit s’étouffer et le corps devant lui s’arqua. Finalement, il entendit un souffle au dessus de lui rapide reprendre un cadence plus normale.

 

-       A moi maintenant de te faire plaisir !

 

Ichigo se figea. Il leva ses yeux inquiets vers l’homme plus vieux. Mais Aïzen entreprit de laver le jeune homme, sans attouchement pervers. L’éponge glissait sur son corps et finalement au fur et à mesure Ichigo se détendit, mais toujours aux aguets. Les mouvements se firent plus lent. Les mains maintenant avait remplacé l’éponge et Ichigo fut troublé. Ce n’était pas le contact brutal mais doux et aussi léger qu’une plume. Aïzen se pencha sur le buste d’Ichigo qui était plaqué contre le bord de la baignoire. Il le souleva un peu pour pouvoir attraper le téton sans avoir la bouche sous l’eau. Au départ Ichigo s’était crispé mais bientôt des sensations autres étaient venues fourmiller dans son corps. C’était inconnu et Sosûke s’en rendit compte. Ce qui lui amena un sourire. Ses lèvres parcouraient maintenant sa clavicule puis remontait sur la base de son cou pour que sa langue entre dans son oreille.

 

Ichigo était troublé par le corps humide et grand devant lui. Il croisa le regard enflammé de l’homme et déglutit péniblement. Que lui réservait-il encore ?

 

L’orangé sentit des mains parcourir son torse, ses abdominaux et finalement ses fesses. Il fut amené contre le corps du plus vieux et sentit que se dernier avait à nouveau sa verge dressée. Ce qui le terrifia. Il gigota et failli couler dans l’eau, mais Sosuke le retint contre lui. Il avait glissé sa main sous son postérieur et le fit remonter pour l’asseoir sur le bord de la baignoire. L’eau coula partout sur le sol. Le brun vit que le pénis du jeune homme n’était pas excité et eu un petit sourire. Il allait remédier à cela. Il caressa doucement l’entre-jambe du jeune homme.

 

Ichigo devint tendu immédiatement. Il déglutit et quand il sentit des mains effleuré ses bourses, pour les serrer mais pas très fort et ensuite relâcher la pression pour glisser sur son sexe qui commençait à réagir. Il étrangla un gémissement quand la main puis la bouche de l’homme qui s’était penché vers lui commencèrent à le lécher pour finalement entreprendre un mouvement de va et vient de plus en plus prononcer. Il s’arqua brutalement contre la tête de l’homme.

 

Aïzen avait glisser ses doigts sur sa prostate ce qui amena quelques étoiles dans les yeux d’Ichigo. Il ne voulait pas céder mais ce qu’il lui faisait avec sa bouche experte et ses doigts ne le laissait absolument pas de glace. Il bougea inconsciemment lorsque que le brun glissa un doigt en lui. Ichigo ne s’en rendit compte que lorsque l’homme eu toucher son point sensible à l’intérieur de son anus. Son corps se contracta sous cette caresse intime. Ichigo avait de plus en plus de mal à respirer. Il voulut se soustraire aux caresses qui le rendait fou. C’était trop… et il ne voulait pas, pas avec un homme.

 

Mais Aïzen ne l’entendait pas de cette oreille et plaça un deuxième doigts délicatement. Là, Ichigo se contracta et voulu s’enfuir. Aïzen le retint et soudain se leva. Il souleva l’orangé et passa une serviette rapidement sur lui, sur son amant. Il traversa la salle de bain et posa le vizard sur les draps qui devinrent mouillés.

 

Il prit dans la table de chevet un lubrifiant. Ichigo en voyant la substance gélatineuse y pensa immédiatement. Il se contracta et Aïzen lui adressa un sourire moqueur.

 

-       Plus tu te contracteras, plus cela te fera mal. Je ne te feras pas ce que je t’ai fait subir hier. Laisse toi faire !

-       Non… s’il vous plaît ! gémit Ichigo

 

Aïzen avait recommencé à le caresser et bientôt il sentit un liquide froid entrez en lui.  Peu à peu Ichigo se détendait à son corps défendant et s’arqua bientôt. Ses gémissements étaient fort et Aïzen ne pu que se sentir victorieux de la fièvre qui s’emparait du corps du plus jeune.

 

-       Dit-le ! Susurra Aïzen à son oreille.

-       Jamais, gémit Ichigo qui se tortillait sous les caresses de plus en plus insistante de son amant.

 

Aïzen s’empara de la bouche d’Ichigo et profita d’un râle pour glisser sa langue. Ichigo ne voulu pas répondre, mais le balais dans sa bouche était si sensuel et les mains lui donnaient tellement de plaisir qu’il ne pu  résister plus longtemps. Il gémit, se cambra et n’en pouvait plus.

 

-       Dit-le ! fit la voix sensuelle et calme d’Aïzen

-       N..on !

-       Comme tu veux !

 

Aïzen se pencha et entreprit de redescendre et de prendre son sexe avec sa bouche. Ichigo sentit une larme glisser sur sa joue. Il avait mortellement honte de la réaction de son corps, contre celui qui était devenu son mari. Et il se sentit humilié quand il haletât à bout de force

 

-       S’il… vous plaît, prenez..  moi !

 

Ichigo était rouge coquelicot, ses yeux étaient mi-clos mais la pupille était dilatée. Il tremblait sous le désir intense. Aïzen eu un sourire de triomphe et prépara correctement le jeune homme. Il voulait qu’il apprécie ce moment là et que cela ne soit pas uniquement de la douleur.

 

Ichigo pleura lorsqu’il le pénétra, cela faisait tellement mal. Il se crispa complètement sous la douleur. Finalement, après quelques poussées il sentit monter en lui du plaisir. Il ne savait pas comment cela pouvait être possible. Il gémit et ces derniers se transformèrent en râles. Ichigo empoigna les épaules au-dessus de lui et s’arqua quand son corps se libéra de toute la tension. Aïzen le rejoignit rapidement mais continua à donner quelques coups pour profiter de toute la jouissance.

 

Sosuke se détacha du jeune homme. Il reprit un peu son souffle et finalement prit l’orangé avec lui. Il l’entraîna dans sa chambre et passa un kimono blanc d’intérieur. Il appela un domestique et demanda à ce que le lit et la salle de bain de son « épouse » soit nettoyé. Il interdit à quiconque de déranger le jeune homme qui récupérait maintenant sur son lit.

 

Ichigo voyait son monde s’écrouler ! Il n’aurait jamais pensé vivre « ça ». Il frissonna et quand la main d’Aïzen caressa son dos, il eut du dégoût pour lui. Car son corps lui, apprécia la caresse.

 

 

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