2. scène 5

Lorsque les élèves entrèrent dans sa salle de classe, Sosuke essaya de se maîtriser lorsqu’il vit la touffe de cheveux roux, coiffés en pétard, reconnaissable entre toute ! Il démarra son cours, tout en prenant soin de paraître naturel. De temps en temps, il lui jetait des coups d’œil, mais Ichigo ne semblait regarder que le tableau. Sa seule consolation, c’est qu’il soit attentif à son cours ! Ce qui n’était pas le cas partout d’après les observations des autres professeurs.

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Après avoir été fou de joie d’être parvenu à trouver une excuse bidon pour amener Ichigo à l’aider pour porter les livres, voilà que cet imbécile de Kisuke l’appelait pour qu’il dégage sa voiture. Maintenant, il était furieux ! Kisuke ne pouvait pas sortir son vélo du garage parce que soi-disant il s’était mal stationné ! Quand avait-il prévu de le trucider cet abruti ?

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Enfin ! Sosuke était si excité d’être si proche qu’il devait se calmer. Son parfum lui parvenait et le troublait. Et puis, Ichigo suivait son doigt du regard, Sosuke eut l’idée de porter son crayon à la bouche, et constata que ses yeux ambre suivaient son geste. Il entrouvrit exprès la bouche, et caressa du bout de la langue, avec lenteur et sensualité le corps du crayon en s’imaginant tout autre chose. L’adolescent parut avoir chaud. Peut-être pas autant que lui, il était dur comme un roc !

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De voir Ichigo si excité, l’avait affolé et il avait été à deux doigts de l’embrasser. Heureusement, il avait su se retenir à temps. Il avait eu juste assez de temps pour voir l’érection sous le tissu de son pantalon lorsqu’Ichigo s’était quasi enfui de la salle des profs.

Contre son regard de bête traquée, Sosuke lui avait lancé un œil de velours, tandis qu’il se mordait les lèvres. Mais le gamin s’était sauvé avant qu’il n’aille plus loin. Le mot déçu n’avait pas été assez fort.

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Dévoré par la curiosité, Sosuke avait cherché Ichigo. Il avait oublié sa trousse. En passant devant les toilettes des garçons, il avait entendu des gémissements. Un élève blessé, ou son imagination ? Après tout, il n’y avait plus personne ici ! Bien vite, il s’était aperçu qu’il s’agissait de gémissements de plaisir. Serait-ce Ichigo ? A pas de velours, il se plaça devant la porte, et se pencha pour regarder par le trou de la serrure.

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Assis sur son canapé, le pantalon en bas de ses chevilles, ainsi que son slip, Sosuke se masturbait en se remémorant les gestes du jeune homme. Sa verge veinée, longue et sa main qui tenait la hampe avec fermeté. Son gland humide. Puis, son attention qui s’était arrêtée à son expression. Il éjacula alors qu’il se souvenait de la tension sur son visage au moment de se libérer.

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